Le juge du référé-liberté a rejeté la requête tendant à l’ouverture de l’accès à la voie publique en se fondant sur l’intérêt public ainsi que sur l’urgence au maintien du dispositif
Saisi une nouvelle fois (cf post du 3 septembre dernier), le juge des référés du tribunal a rejeté la requête de la Ligue des Droits de l’Homme visant la suspension de l’exécution de la décision du Haut-commissaire de la République « verrouillant » cette route et édifiant un mur de protection le long de cette même route.
L’ordonnance indique que les nécessités de l’ordre public et la protection des populations imposent que le dispositif, qui n’est plus dépourvu de base légale depuis l’arrêté préfectoral du 19 septembre 2024, soit maintenu jusqu’à ce que l’ordre soit entièrement rétabli.